Pour cette 7è édition, le Prix Littéraire des Grandes Écoles (PLGE) s’ouvre aux arts. Toujours profondément ancré dans sa passion première, la littérature, le PLGE y ajoute cette année une palette d’autres supports d’expression : peinture, photo, musique seront à l’honneur des soirées d’ouverture et de clôture et des événements organisés au cours de l’année. L’esprit de la Factory d’Andy Warhol soufflera sur les juré(e)s !
Des étudiants acteurs de la vie littéraire
Depuis sa création par deux élèves d’HEC en 2009, le PLGE permet aux étudiants d’agir pour la culture. Appartenant à une grande école ou à une université prestigieuse, ils viennent d’horizons variés : on compte dans leurs rangs aussi bien des scientifiques de l’X, que des communicants du CELSA ou des élèves de l’ESSEC. Chacun peut ainsi exprimer sa vision de la littérature au sein du seul prix littéraire géré et organisé exclusivement par des étudiants. Une initiative interdisciplinaire pour permettre à des publics souvent cloisonnés de se rencontrer et d’échanger autour de leur passion. Antoine Voland – Logerais, l’un des deux présidents du PLGE, souligne que « pour la première fois, le Prix a été repris par d’anciens jurés, puis d’autres personnes nous ont spontanément proposé leur candidature, des gens d’HEC, de Sciences Po… » Thomas Turelier, le deuxième président acquiesce : « Cela a produit un effet boule de neige. Et nous avons encore des personnes qui nous contactent ! C’est assez fou. »
Zoom sur le processus de sélection
Dans un premier temps, le bureau du Prix fait une présélection : 12 ouvrages sont retenus. Les auteurs doivent être francophones, publiés dans le courant de l’année et n’avoir jamais été primés. Dans un second temps, place à l’équipe de jurés recrutée dans les grandes écoles et les universités : elle discute et délibère au cours de quatre comités sur les qualités et la valeur de chacun des romans. C’est l’occasion pour tous ces étudiants d’exprimer leur amour des lettres et de défendre, avec toute leur verve, leur favori. L’année dernière, Marie Richeux avait remporté le prix avec Achille. Publié aux éditions Sabine Wespieser en 2015, le roman réécrit l’Iliade au travers d’une réflexion poétique sur la guerre.
Les nouveautés de cette année
Le PLGE continue sa politique d’ouverture initiée depuis la précédente édition et s’étend aux autres arts. En écho à l’exposition du Centre Pompidou, le PLGE s’oriente sur une thématique inspirée de la Factory d’Andy Warhol. Des partenariats avec des musées, des associations, des salons… sont en cours de finalisation. Débats, conférences, expositions et concerts seront également au rendez- vous. Cette 7è édition du Prix sera jeune et connectée, elle développera ses réseaux sociaux et pour la première fois dans l’histoire des prix littéraires, vous fera vivre sur Twitter et Facebook les coulisses et le processus de délibération. À travers les réseaux sociaux et l’organisation de rencontres, l’équipe du PLGE souhaite augmenter sa visibilité dans la multitude des prix littéraires existants. Un nouveau site est ainsi en cours de préparation : plus ergonomique, plus esthétique, il présentera la nouvelle ligne graphique du Prix.
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